À l'occasion de la Journée internationale de la solidarité humaine, le 20 décembre, pleins feux sur le devenir de la coopération internationale à travers le parcours du chargé de cours Paul Cliche.
«Nous n’allons pas sauver les gens avec qui nous travaillons. Ces personnes s’organisent et luttent pour améliorer elles-mêmes leur situation et faire entendre leurs voix, avec notre aide», a expliqué Paul Cliche à l’Université de Montréal.
Interrogé sur sa vision de la coopération internationale à l’occasion de la Journée internationale de la solidarité humaine du 20 décembre, le chargé de cours de la Faculté de l’éducation permanente est un expert reconnu par l’Association québécoise des organismes de coopération internationale.
L’approche du développement et de l’éducation de M. Cliche s’est forgée au fil des années passées à collaborer avec de multiples communautés, groupes activistes et populations autochtones autour du monde.
C’est cette vision émancipatrice qui se retrouve au cœur du certificat en coopération et solidarité internationales, le seul programme au Québec examinant les pratiques au travers du prisme de la décolonisation.
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