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Maxime Gaboriault Bédard : « La FEP a changé ma vie »

Plongé dans l’univers de la musique très jeune, c’est avec détermination que Maxime Gaboriault Bédard s’est lancé le défi d’obtenir un baccalauréat en droit. Un objectif réalisable, mais qui lui a demandé de franchir quelques étapes avant d’y parvenir, notamment celle du programme ACCÈS-FEP, qui lui a ouvert les portes du bonheur. Maxime vit désormais au rythme du droit.

Ce n’est pas un jeune homme ordinaire. Volubile, enjoué, heureux. Il dégage de la sérénité. Son sourire et son enthousiasme en disent long sur son parcours. Passionné de musique, il lui consacre une grande partie de sa vie. Batteur depuis l’âge de 12 ans, il s’isole nuit et jour avec sa instrument, dans son local de pratique. Originaire de l’arrondissement de LaSalle à Montréal, le jeune musicien ne pense qu’à se perfectionner. C’est fort logiquement qu’il entame un premier DEC en Musique au Cégep de Saint-Laurent, mais qu’il ne mènera pas à son terme. Il réitère l’expérience avec un second DEC en Sciences humaines. À chaque fois, même constat. « Je n’ai pas tenu le rythme, j’avais vraiment de la misère à jongler avec huit cours par session », se rappelle-t-il.

À l’aube de ses trente ans, Maxime, comme le reste de la planète, reste reclus chez lui en raison de la pandémie de Covid-19. Remise en question totale, puis décision importante qui pourrait changer le cours de sa vie. Le mélomane se met en quête d’un baccalauréat en droit, ce qui l’amène à se tourner vers ACCÈS-FEP dès l’automne 2021, puisqu’il ne répondait pas aux conditions d'admission du certificat en droit. « Cette décision m’a vraiment donné une direction majeure dans ma vie », se félicite, d’un ton serein et sourire aux lèvres, le néoétudiant. « J’ai trouvé ma voie et ACCÈS- FEP a répondu à mes attentes. Avec quatre ou cinq cours par session, contre huit pour un DEC, on peut se permettre d’être plus perfectionniste et donc on est plus performant. »

Sur le droit chemin avec la FEP

Dès la session suivante, en janvier 2022, Maxime commence son certificat à la Faculté de l’éducation permanente (FEP). Son cœur bat la chamade pour le droit, même s’il n’est pas question de laisser tomber son premier amour, la batterie. En collocation avec quatre autres personnes à Villeray, le néophyte rythme ses journées d’étude à la baguette. Ses baguettes de batterie qu’il a d’ailleurs troquées contre des livres. Il s’isole souvent pour étudier, sans être constamment attiré ou dérangé par son cellulaire, car il n’en possède pas. « J’avais besoin d’étudier énormément, car la première année est assez soutenue, les cours sont denses », explique-t-il, avant de souligner l’importance de la flexibilité dont il a pu profiter à la FEP. « J’ai adoré les cours en présentiel le soir et les cours en ligne. La FEP se démarque vraiment par sa flexibilité et sait mêler le côté relax et le côté sérieux. Les professeurs sont incroyables, ils nous préparent très bien pour la suite avec des cours vraiment appropriés. »

Depuis septembre 2023, Maxime fréquente les bancs de l’Université d’Ottawa. En plus d’avoir trouvé sa voie, il a rencontré beaucoup de personnes et s’est aussi créé un réseau. « Je me suis fait des amis en suivant les cours à la FEP et beaucoup d’entre eux sont allés à l’Université d’Ottawa. C’est vraiment cool de pouvoir profiter de ça », se réjouit l’intéressé. « Les cours sont certes très importants pour apprendre, mais le réseautage aussi pour la suite ! »

« J’ai découvert que j’adorais l’école »

Le jeune homme a toujours su garder la tête sur les épaules. Il était conscient qu’il ne possédait aucun diplôme. « Ça peut paraître bête, mais je me suis rendu compte que je n’avais qu’un niveau de secondaire 5 ! C’était ma seule qualification pour essayer de trouver du travail. » Un peu comme s’il essayait de voyager sans passeport. Maxime a toujours entretenu des rapports difficiles avec l’enseignement depuis le primaire. Bon élève, apprécié de tous, il n’est jamais parvenu à mêler apprentissage et plaisir. Cela a toujours été un poids pour lui. « Je n’aurais jamais dit ça avant, mais j’ai découvert que j’adorais l’école après mes études à la FEP. J’aime étudier du matin au soir maintenant. J’ai enfin trouvé quelque chose que j’aime faire. »

Et la musique dans tout ça ? Compositeur dans l’âme, il cherche le rythme, le son, la voix, la note qui le fera vibrer. Il est même allé jusqu’à enseigner la batterie. La musique a toujours fait partie intégrante de sa vie. Même trop, selon le trentenaire.  « Avant d’entreprendre des études supérieures, je faisais de la musique au quotidien et cela me prenait énormément de temps parce que je voulais toujours me perfectionner. J’étais pris dans un cercle vicieux, une vraie routine. C’est pour cette raison que je n’avais pas fait d’études jusqu’à lors. »

Ottawa est une étape importante dans la vie de l’étudiant. Et pas juste pour ses études, car Maxime Gaboriault Bédard n’est peut-être pas une personne ordinaire, mais pour rester en contact, il s’est tout de même équipé d’un téléphone intelligent.

Le programme ACCÈS-FEP et le certificat en droit seront présentés lors des séances d'informations en ligne des Rendez-vous FEP. Inscrivez-vous dès maintenant, vous recevrez l’invitation et un rappel pour ne rien rater !

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