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Acquérir de nouvelles compétences une fois diplômé : un atout gagnant pour la carrière de Thomas Bélanger

Thomas Bélanger est doublement diplômé d’une maîtrise en études internationales et d’un MBA pour cadres spécialisé en gestion de la technologie. Il travaille depuis quinze ans dans le développement de produits numériques. Reprendre des études dans un certificat de premier cycle à la Faculté de l’éducation permanente (FEP) de l’Université de Montréal a été pour lui l’opportunité d’ajouter une nouvelle corde à son arc de compétences. Portrait.

Après de nombreuses expériences professionnelles qui l’ont mené à travailler dans le milieu publicitaire, l’informatique, chez Cogeco ou encore à Radio-Canada, c’est à l’Université de Montréal que Thomas Bélanger a posé ses valises professionnelles depuis quelques années. Il est responsable d’une équipe système au sein du service des admissions et du recrutement et offre, avec son équipe, un soutien technologique aux autres équipes et unités de l’Université. Il travaille sur de nombreux projets de nature technologique mais aussi sur l’optimisation des processus internes.

« Dans mon travail, il y a tout le temps eu une composante créative. Je travaille depuis plus de quinze ans sur de nouvelles solutions et produits, ou sur l’évolution de produits existants. J’avais l’intuition que le processus créatif pouvait être mieux structuré. Tout le monde est familier avec le processus de brainstorming, mais parfois, on a le sentiment qu’on aurait pu aller plus loin, avec plus de temps ou plus d’outils, qu’on aurait pu faire surgir des idées plus originales. C’est la raison pour laquelle je me suis inscrit au certificat en créativité et innovation de la FEP » partage-t-il.

Si ce certificat est actuellement fermé aux admissions, il aura permis à Thomas Bélanger de développer ses compétences et d’appliquer directement ses acquis dans son métier au quotidien. Les programmes de la FEP étant axés sur la pratique et offerts par des chargées et chargés de cours issus des milieux professionnels, ils permettent aux personnes qui travaillent de se former en continu, tout comme le Centre de perfectionnement de la Faculté le permet, en bénéficiant du niveau de qualité de l’enseignement universitaire. Ainsi, on peut, en tant que médecin, suivre un certificat en journalisme multiplateforme dans le but d’animer une chronique sur la santé dans la presse, en tant que gestionnaire, suivre un certificat en coopération et solidarité internationales pour travailler dans des organisations de coopération internationale ou encore travailler dans le domaine des relations gouvernementales et nécessiter un complément de formation comme le certificat en relations publiques de la FEP, comme cela a été le cas pour Jessy Léger.

« Le certificat en créativité et innovation offrait des cours intéressants, complémentaires et assez uniques sur le marché québécois. On trouve sur le marché de la formation des cours, souvent privés, sur des techniques particulières, mais je trouve que le certificat de la FEP apportait une approche plus globale : des cours sur des techniques et des approches, mais aussi sur le leadership, le climat organisationnel ou la gestion du changement. Le tout était cohérent et utile pour moi » explique Thomas Bélanger. Plusieurs des cours du certificat restent ouverts aux inscriptions, puisqu’ils sont proposés dans de nombreux autres certificats, comme Fondements de la créativité, offert dans le certificat en enquête et renseignement, le certificat en coopération et solidarité internationales, le certificat en intelligence artificielle ou le certificat de publicité et communication créative. Les cours Outils et techniques de résolution de problèmes, Créativité et innovation : individu et organisation et Leadership, mobilisation, créativité et innovation restent également ouverts aux inscriptions.

Thomas Bélanger explique qu’il a suivi le certificat à son propre rythme : « J’ai été très satisfait de ce certificat. Je le faisais à temps partiel : un à deux cours par session. J’ai un travail à temps plein, une famille, je n’avais pas envie de m’imposer un rythme plus exigeant. Je le faisais pour le plaisir puisque j’ai déjà deux maîtrises. Ce n’était donc pas le diplôme qui m’intéressait mais le contenu des cours. Je me suis donné la liberté de prendre le temps de le faire ». C’est donc en prenant son temps qu’il a étudié, avec succès, au point de devenir lauréat du Prix du doyen 2023 qui récompense les étudiantes et étudiants pour le rendement supérieur et la qualité soutenue de leurs travaux.

Il apprécie notamment le fait que les cours sont offerts par des professionnel(le)s qui travaillent dans le domaine et qui font preuve de passion. « J’ai trouvé que tout le monde était là pour les bonnes raisons et c’était contagieux dans l’énergie de la classe. C’est intéressant d’avoir des chargées et chargés de cours qui ne traitent pas juste l’aspect théorique, mais qui sont capables d’ancrer le contenu du cours dans leur vécu et de partager comment ils ont mis ça en place, concrètement, dans leur organisation » raconte-t-il.

Thomas Bélanger souligne également l’intérêt du réseautage avec les autres étudiantes et étudiants, dont la quasi-totalité est sur le marché du travail. « J’ai gardé contact avec certaines personnes qui étudiaient avec moi. L’une des forces du certificat, c’est que la thématique de la créativité touche de nombreuses personnes. Tout le monde peut être intéressé à trouver de nouvelles façons de réfléchir. Il y avait donc avec moi en classe ou en ligne des gens du milieu bancaire, du milieu gouvernemental, des forces armées canadiennes, de la santé, du milieu publicitaire… Cela a permis d’enrichir grandement les échanges en classe. Grâce à ce certificat, je suis mieux outillé face à des défis créatifs dans ma vie professionnelle » conclue-t-il.

Pour en savoir plus sur les microprogrammes et les certificats de la FEP.

Pour en savoir plus sur le Centre de perfectionnement de la FEP qui propose de la formation continue.